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Pourquoi pas avec des dromadaires ?
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Pour commencer, je pratique mais n'ai pas le permis.
Partir seul avec un, d'autant plus avec plusieurs dromadaires, implique de passer un certain temps (et régulièrement) dans l'année avec eux et un chamelier pour un apprentissage sérieux. Certains diront : "oh lui, eh! Moi je suis déjà monté dessus ; ça n'a rien de très compliqué!". Certes, c’est vrai! Monter dans une puissante voiture et rouler à 200km/h sur une autoroute est à la portée de bien des personnes. Par contre, ce qui est déjà moins évident, c'est d'éviter à cette même allure la petite biche qui traverse, sans la toucher, ni se fracasser sur un bas-côté...
Etre seul dans le désert avec des dromadaires, personnellement, je ne m'en sortirais vivant que si je n'ai aucun souci avec eux et s'ils sont bien dressés. Sinon...
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Un dromadaire est un étrange animal capable de rester plusieurs jours sans boire. Cependant, il doit manger tous les jours. Dans le Ténéré, il est nécessaire d'emporter sa pâture puisqu'il n'y a rien, donc de le traverser au plus vite. Il y a des chameaux dressés pour la selle, d'autres pour le bât. Il m'en aurait fallut 1 de chaque.
Cela étant dit, j'ai depuis mon retour acquis un très beau chameau blanc de l'Aïr : Abzao.
Grâce à mon ami Abda qui a jugé totalement tordu de traverser "la Mort Rouge" avec une simple brouette, je perfectionne mon apprentissage camélidé de temps en temps. Il est effectivement dans mes projets lointains d'envisager ce genre d'expérience en compagnie de ces fabuleux "bestiaux", remarquable exemple d'adaptation au milieu.
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